PURDEY, 2009
Huile sur toile, 200 x 400 cm
Paris, collection privée
Chez Philippe Pasqua, il n’y a aucune différence de traitement entre un portrait et un tabeau figurant un animal ; en l’occurrence un des chiens qui partagent son quotidien. Les toiles sont monumentales et saisissantes de beauté : un animal paisible, calme, abandonné. Une pose ? Non, une présence offerte et un jeu complexe où l’animal s’humanise et apparaît tel une Vénus alanguie ou une très moderne et intrigante Olympia.